HEROÏC-FANTASY
Cliquez sur l'image pour voir le slide show Heroic-Fantasy
Ou bien TELECHARGER LE BOOK " HEROÏC-FANTASY 2006" (8,9 Mo en .pdf)
LES AVENTURES DE TASSELOF BEARFOOT
En 1989, Antoine Lacroix et Sylvain Rigollot écrivent cette histoire, inspirée de parties de Jeu de Rôle situées dans l'univers de Donjons & Dragons, et imprégnée de l'ambiance régnant dans les Terres du Milieu du grand JRR Tolkien.
TELECHARGER LA NOUVELLE "LES AVENTURES DE TASSELOF BEARFOOT" (35 pages, 2 Mo en .pdf)
"J'ai lu Tasselof Bearfoot et j'ai très envie d'envoyez un commentaire !"
BANDE DESSINEE
Cliquez sur l'image pour lire la bande dessinée.
Ou bien TELECHARGER LES SEPT PREMIERES PAGES DE JACK IRONWOOD en format pdf (5,3 Mo)
Ci-joint une version détournée des "Belles Histoires de l'Oncle
Paul", racontant la première domestication du cheval par un homme préhistorique, Ouka
Tchouka...
Cliquez sur l'image pour voir la bande dessinée.
Ou bien TELECHARGER LES DEUX PAGES D'OUKA TCHOUKA en format pdf (7 Mo)
Si vous désirez encourager l'auteur dans ses vélléités de BD, voire même, lui proposer des opportunités de publication... envoyez lui un message !
DIVERS
Voici un peu de THEORIE sur le métier de storyboarder...
LE STORYBOARD : DEFINITION
Qu'est-ce que le storyboard ?
On peut le définir comme un scénario illustré sous forme de dessins, fixes, qui représentent la future succession des plans, animés, d'un film.
C'est une étape préliminaire avant le tournage d'un film. Le storyboard constitue un outil de travail facultatif dans le cas du long métrage, mais est souvent indispensable en publicité et toujours dans le cas des films d'animation.
C'est donc une histoire racontée sous forme de croquis. On peut le comparer à une bande dessinée, mais à la différence de la BD, le story-board n'est pas une fin en soi. Les dessins sont moins soignés, et envahis d'annotations techniques. Les dialogues entre les personnages ne sont pas inscrits dans des bulles, mais à coté de l'image, etc.
Que contient-il ?
Le storyboard intègre une grande partie des éléments cinématographiques qui constitueront le film :
-échelle des plans
-cadrage
-position des décors et des personnages
-présence de mouvements de caméra (travelling, panoramique, etc) ou leur absence
-présence de mouvements dans le cadre (personnages, objets, véhicules, etc) ou leur absence
-orientation de la caméra (plongée, contre-plongée, tilt, etc)
-nature des raccords
-timings des plans
-son : dialogues, bruitages, indications sur la musique, etc.
-effets spéciaux
Pour qui a un peu d'imagination, et possède de la pratique, il est presque possible
en lisant un story board de voir se dérouler le film dans sa tête, de la même
manière qu'un musicien maîtrisant le solfège peut entendre la musique intérieurement
en lisant une partition. En résumé, on peut presque dire ceci : le story-board
est la partition d'un film...
Quelles sont ses finalités ?
Il en a trois : intellectuelle, humaine, et économique.
Intellectuelle : la finalité première concerne le réalisateur. Pendant la phase d'élaboration de son découpage, acte qui est au c½ur du processus de mise en scène, le réalisateur peut utiliser directement le story board comme un matériau de création. Il peut le faire lui-même, s'il possède un petit coup de crayon. Ou le faire faire, s'il a quelqu'un sous la main. Quoi qu'il en soit, le fait de visualiser les plans avant leur tournage permet au réalisateur de fixer ses idées, et éventuellement, d'en trouver de nouvelles auxquelles il n'avait pas songé préalablement.
(quelques exemples de "réalisateurs-storyboarders" : Fritz Lang, Terry Gilliam, Tim Burton, David Lynch, James Cameron)
Humaine : Le storyboard n'est pas utile au seul réalisateur. Le cinéma est avant tout un travail d'équipe, et sur un même film peuvent travailler un grand nombre de collaborateurs, dans des spécialités souvent différentes et à des moments et des endroits parfois très éloignés. De par sa nature graphique, le story board permet une grande compression de l'information ("une image vaut mille mots", dit un proverbe chinois), et une diffusion facile et rapide. Il est l'outil idéal pour transmettre les données essentielles avec un minimum de temps et d'effort.
Ainsi, en visualisant les plans sur le papier, chaque membre de l'équipe peut planifier ses tâches et situer sa part de travail dans l'architecture de l'ensemble. Les responsables des effets spéciaux, par exemple, ont un support pour concevoir précisément leurs trucages. Les maquilleurs, costumiers, décorateurs, savent grosso modo quoi faire sans perdre de temps. En animation, le storyboard donne les positions clé des personnages. Les équipes du layout et de l'animation travaillent ensuite à partir de cette base pour dessiner les mouvements intermédiaires et obtenir un mouvement continu en 24 i/s.
Economique : en rendant lisible la quantité de travail à effectuer, ainsi que la quantité éventuelle de scènes d'action, cascades, explosions, effets spéciaux, etc, le storyboard permet au producteur de budgéter le film. S'il est en phase de pré-production, des fragments dessinés du film pourront aussi lui servir à convaincre de nouveaux investisseurs de s'associer au projet.
De la même manière, une agence de publicité s'en servira pour convaincre ses clients que son idée est bonne. Les storyboard d'agence sont d'ailleurs généralement plus soignés (et ils sont mis en couleur) qu'en production cinéma, car leur but est plus de séduire que d'être technique. Par contre, les storyboard de production, appelés aussi "shooting boards" (qui sont conçus immédiatement avant le tournage du spot publicitaire), parce qu'ils ont essentiellement pour vocation d'être utiles, ont le caractère brut et efficace d'un document de travail : noir et blanc, "rough" rapide, position de la caméra, etc.
CARTES DE VOEUX
Cliquez sur l'image pour voir la Galerie "CARTES DE VOEUX"Depuis 1997, c'est une histoire à suivre. Deux dessins par épisode, un épisode par an...